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Calendrier des sessions 2020 de La Valfine

La Valfine se prépare pour cette nouvelle année 2020 avec un programme riche et varié encore une fois ! Trois sessions ouvertes à tous sont d'ores et déjà planifiées avec les intervenants suivants : René Valette en Mai, Guy Aurenche en Juin et Albert Rouet en Octobre. Nous ouvrons cette session à plusieurs dizaines de participants. Venez nombreux !

« Quelle hospitalité ? » Méditation de François Picart

En ce temps-là, Jésus entra dans un village. Une femme nommée Marthe le reçut. Elle avait une sœur appelée Marie qui, s’étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole. Quant à Marthe, elle était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : « Seigneur, cela ne te fait rien que ma sœur m’ait laissé faire seule le service ? Dis-lui donc de m’aider. » Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu te donnes du souci et tu t’agites pour bien des choses. Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas enlevée. »

« La guerre sainte »

Pendant cette semaine, la liturgie nous donne à lire comme première lecture divers passages des deux livres des Martyrs d’Israël. Ces livres ont longtemps été appelés les livres des Maccabées, du nom de Judas Maccabée, héros national, adversaire victorieux de l’occupant grec

Sous le jugement

Hypocrites, tel est le leitmotiv accusateur de l’apostrophe cinglante que Matthieu met dans la bouche de Jésus s’adressant aux « scribes et pharisiens » de son temps

Que tous soient un

L’unité est une chose bien mystérieuse. Jean a beau multiplier, dans ce texte solennel et final – un testament dans le Testament - les invocations et les explications, l’unité nous reste assez largement étrangère.

« De la foi qu’on possède à la prière qu’on dit »

Tout juste descendus de la montagne de la Transfiguration, comblés de la vision de Dieu même, voilà Pierre, Jacques et Jean propulsés, avec Jésus, dans une invraisemblable dispute entre les disciples, les scribes et la foule. A quel sujet ?

« Préférer la douceur de la Parole au fracas des faux-semblants »

Le chapitre 21 de l’Évangile de Luc est effrayant. A ceux qui mettent leur confiance dans l’édifice cultuel monumental qu’est le Temple d’Hérode et invitent à l’admiration du bâtiment, Jésus prédit la destruction, la catastrophe, tout comme il l’avait fait au tout début de son entrée messianique à Jérusalem

« Quand tu étais sous le figuier »

Est-il possible d’ajouter quelque chose à la longue méditation d’Adrien Candiard sur ces quelques versets ? L’auteur dit avoir peu de goût pour les spéculations sur les significations symboliques du figuier. Il préfère souligner que Jésus fait allusion à un moment intime de la vie de Nathanaël

« Que Tous Soient Un »

Ces paroles de Jésus se présentent comme un testament dans le testament. En un long et solennel « discours d’adieu » (13 à 17) Jésus s’adresse aux siens, comme Jacob s’adressa à ses fils ou Moïse à son peuple, avant de mourir.

«Tous les sacrifices, même sincères et désintéressés, ne sont pas bons pour autant »

Comme elle est étonnante cette mère qui a sacrifié son identité à son mari et à ses enfants. C’est pour eux qu’elle se prosterne et parle au Maître. Abnégation extrême, réduite à l’entre soi familial. Comme ils sont insolents et prétentieux ces fils manœuvriers qui ont envoyé leur mère porter leur requête au rabbi