Entrées par communication@oratoire.org

La Soupe Saint Eustache : source de joie et de partage

A l’initiative du Père Denis Perrot, un soir de l’hiver 1984, un petit groupe de bénévoles se réunissait et distribuait 13 soupes. Aurait-on pu imaginer que cette initiative perdurerait et soit, 35 ans après, toujours d’actualité ? Ce ne sont plus 13 repas mais près de 32 000. Ce n’est plus une poignée d’hommes mais près de 400 bénévoles qui pendant 16 semaines occupent le parvis de Saint-Eustache.

Crèche 2018 à Saint-Eustache, par Jacques Merienne

Dans tous les domaines, les artistes contemporains sont très directs, les plasticiens notamment utilisent toutes sortes de matériaux à leur disposition, les plus pauvres comme les plus riches, avec une préférence pour les premiers, et un effet d’amoncellement biscornu. L’esthétique et l’iconographie traditionnelles semblent oubliées alors qu’au contraire elles sont approfondies et mises à jour…

Accueillir Celui qui vient par Gilles Hervé Masson. Editorial de Noël

Noël : non pas l’échappatoire d’une « belle histoire » illusoire, non plus que la parenthèse d’une paix rêvée ou fantasmée… Noël : une brèche dans la nuit, une lumière douce et pacifiante dans les obscurités de l’histoire troublée des hommes. Un moment où terre et ciel se rapprochent. Un moment où se donne à voir un Dieu à visage humain.

« Inde : Contes et réalités », une exposition de Nicolas Henry et Floriane de Lassée à Saint Merri

« Inde : Contes et réalités » est une des cinq ou six expositions annuelles proposées à Saint-Merri. Nicolas Henry et Floriane de Lassée sont photographes et parcourent le monde ensemble. Ils le racontent à leur manière, pleine d’imaginaire, dans des expositions et des livres. Ils aiment l’Inde et y vont souvent. Leurs grands formats en couleur témoignent de réalités sociales et patrimoniales. Par ailleurs, ils sont très impliqués dans des ONG indiennes qui défendent la cause des enfants et des femmes. Mais chacun a son sujet, son style et sa manière d’exposer.

Des Oratoriens méditent la Bible. Luc Forestier (07.01.2019)

L’insertion des chrétiens dans nos sociétés implique nécessairement des débats sur la manière d’y vivre la foi en la résurrection du Christ : le critère de l’amour apparaît comme essentiel, de même que le moyen qu’est la vérification par l’incarnation. Toute proposition qui s’écarterait de l’amour « en actes et en vérité » et qui ignorerait l’entrée dans la chair humaine se voit ainsi recadrée par l’autorité du Disciple bien-aimé, qui a vu et touché le Verbe fait chair.