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Calendrier des sessions 2020 de La Valfine

La Valfine se prépare pour cette nouvelle année 2020 avec un programme riche et varié encore une fois ! Trois sessions ouvertes à tous sont d'ores et déjà planifiées avec les intervenants suivants : René Valette en Mai, Guy Aurenche en Juin et Albert Rouet en Octobre. Nous ouvrons cette session à plusieurs dizaines de participants. Venez nombreux !

« Quelle hospitalité ? » Méditation de François Picart

En ce temps-là, Jésus entra dans un village. Une femme nommée Marthe le reçut. Elle avait une sœur appelée Marie qui, s’étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole. Quant à Marthe, elle était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : « Seigneur, cela ne te fait rien que ma sœur m’ait laissé faire seule le service ? Dis-lui donc de m’aider. » Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu te donnes du souci et tu t’agites pour bien des choses. Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas enlevée. »

Date à retenir !

« Puiser, dans nos actes, le sens de Noël »

Entretien avec Yves Trocheris, paru dans La Croix, le 7 décembre 2020. L’église, qui accueille d’habitude près de mille personnes pour ses offices de Noël, se prépare cette année à des célébrations plus minimales. L’occasion, selon le prêtre oratorien, de faire de ses actes, une célébration du mystère de Noël.

Message du père Yves Trocheris, curé de Saint-Eustache

Message du père Yves Trocheris, curé de Saint-Eustache
Saint-Eustache

Messes de la Toussaint : « Se rassembler après un attentat, c’est reconstruire un lien »

[Interview] À la veille de la Toussaint, entre la crainte d’un nouvel attentat après celui qui a touché la basilique de Nice, le 29 octobre, et l’appréhension face à la crise sanitaire, les prêtres sont aux premières loges pour prendre soin des paroissiens et des visiteurs. Témoignage d’Yves Trocheris, curé de Saint-Eustache, à Paris.

Homélie du père James Cunningham

(...) C’est ce Dieu qui selon l’expression de Jean Paul II nous invite à « l’option ou l’amour préférentiel pour les pauvres, » qui fait du petit, du pauvre, de l’étranger, du prisonnier, du malade, la priorité, qui veut que nous fassions à notre tour une différence, aussi modeste soit-elle.

Éditorial du père Jean-Marie Martin

Ouvrons les bras, les mains, – dans la limite des gestes barrières –, et libérons nos yeux, notre bouche, nos oreilles, déconfinons et déterminons notre cœur. Vive la vacance de nos enfermements coronaviresques ! Vive les vacances ! Vive les futures rencontres, découvertes inopinées, amitiés nouvelles et inattendues. Haut les mains bouchant nos yeux, notre bouche, nos oreilles ! Bienvenue aux regards renouvelés sur les personnes, sur les choses, les événements, les sites touristiques et les panoramas ; bienvenue aux paroles réinventées dans leur acuité, leur à-propos, leur circonstance, leur fruition ; bienvenue à l’écoute attentive, prodigue, bienveillante, captivée, généreuse et clémente. En somme, à toutes et à tous, bonnes vacances authentiques, hautes en couleur.

Voyage en poésie

De Cerise à Saint-Eustache, le trait commun est celui de l'écoute : ces deux lieux sont l'un à l'écoute du quartier et l'autre à l'écoute de la Parole ; chacun à sa façon est à l'écoute de la vie et de son langage. Or, ici et là, les oreilles prennent-elles le temps de sortir des sentiers battus des mots et du rapport qu'on a avec eux ? Pour ce faire, pour interroger notre rapport au langage – qu'il soit celui des hommes ou celui de Dieu – et pour renouveler notre écoute, l'année 2019-2020 a été placée sous le signe de la poésie qui est peut-être de tous les genres littéraires celui qui nous invite le mieux à faire l'expérience de l'intime et du lointain, à questionner les catégories qui fondent notre rapport aux autres, aux choses et leur vérité.

C'est le Christ qui nous accueille

« J'ai eu faim et vous m'avez donné à manger, j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire, j'étais un étranger et vous m'avez accueilli. », Matthieu 25.

Édito de la semaine par le père Jacques Mérienne

Mon téléphone me rend efficace mais ne risque-t-il pas aussi de me rendre fade ? Fade s’il me prend tout, s’il efface tout ce que je peux dire, voir, entendre, sans lui, tout ce que je peux imaginer, rêver, espérer sans lui. Fade si je ne peux plus aimer sans lui. Je me promène dans la rue en évitant les trottinettes et les passants pressés les yeux rivés sur leur écran ou le regard perdu quand ils ont des écouteurs. Nous sommes sur le même trottoir mais pas dans le même espace, pas dans le même temps, ils sont branchés ils communiquent parce qu’ils en ont besoin, moi je me glisse dans les vides laissés par leur passage. Je le pressens nous allons être de moins en moins nombreux à déambuler sans téléphone, est-ce que nous allons être moins nombreux à aimer ? Allons-nous être moins nombreux à « saler » la terre, à révéler sa saveur ? Pas de panique, les générations qui viennent sauront sûrement apprivoiser leur téléphone, et même s’il ne reste qu’une pincée de transcendants savoureux, ne serait-ce qu’une toute petite pincée, l’amour sera sauf.

Mieux faire connaître le patrimoine de Saint-Eustache

Il y a 30 ans, le cardinal Lustiger avait souhaité la création d’une association destinée à organiser et soutenir les activités culturelles et artistiques du diocèse de Paris. C’est ainsi qu’est né Art, Culture et Foi/Paris. Depuis, l’association a fait son chemin en évoluant et en multipliant ses activités, grâce au travail de nombreux bénévoles. Expositions d’artistes contemporains, concerts, conférences, évènements cinématographiques… les activités qu’organise ou que soutient Art, Culture et Foi/Paris sont nombreuses et multiples.