Dans nos vies toutes livrées à la productivité, l’apparence, l’efficacité et la jeunesse, le vieillissement apparaît comme une épreuve où se mêlent d’innombrables angoisses liées à d’innombrables pertes. Alors, comment vieillir ? Quelle lumière peut nous apporter la foi ?…
Cette année, les Églises orthodoxes ont célébré Pâques le dimanche 1er mai. À cette occasion, l’Archiprêtre Serge Sollogoub partage avec nous l’éditorial de la feuille d’informations paroissiales de sa paroisse, Saint-Jean-le-Théologien à Meudon.
Mais qu’est-ce qui nous pousse à chausser nos « pataugas » pour arpenter sentiers et chemins de traverse ? Qu’est-ce qui nous pousse, à l’heure des trains à grande vitesse et de la recherche d’efficacité maximum à choisir de parcourir à pied un certain nombre de kilomètres en une journée ?
En se mettant à l’école de Celui qui est doux et humble de cœur, nous sortons de cette spirale infernale, et nous retrouvons l’air de la liberté, et de la joie qui en découle, celle de se savoir aimé. Cette école est libre, gratuite et ouverte à tous.
Cinq affirmations tirées de la Théorie de l’éducation nous permettront de saisir comment Laberthonnière s’empare de la question de la tension entre autorité et liberté et comment celle-ci prend sa source dans une vision de l’homme.
Il y a bien rassemblement autour du Christ ressuscité, dans des Églises « établies », à Antioche, à Jérusalem ou ailleurs. Mais il y a toujours aussi dispersion, envoi vers les périphéries géographiques et surtout humaines. Tout le plan de l’œuvre de saint Luc, Évangile et Actes, est au service de ce mouvement, qui part de la Galilée et, après Jérusalem, va jusqu’à Rome.
La publication de l’exhortation du Pape François – un terme bien virulent, pour exhorter sur 250 pages il faut du souffle !– n’a pas enthousiasmé les média. Pas assez « révolutionnaire ». Et pourtant elle l’est !
(…) Cela voudrait-il dire que, sans la communion eucharistique, on ne pourrait être sauvé ? Et que, a contrario, communier est un passeport pour l’éternité ?
En liant amour et vérité, la miséricorde de Dieu incarnée par Jésus a vaincu la violence qu’elle a démasquée.
Les équipes du Rosaire, dont une intervient chaque mois à St-Bonaventure, ont pour mission « d’annoncer l’Évangile à la manière des Apôtres, simple, populaire, accessible à tous ».
