« La joie de l’amour »
A propos de l’exhortation du pape François.
Paris : L’analyse des situations ne peut pas relever d’une organisation centrale sans véritable connaissance des conditions concrètes dans lesquelles sont impliqués les hommes. L’Église n’est pas le conservatoire de nos mœurs et de nos pratiques quand nous ne sommes nous-mêmes plus très sûrs de vouloir les défendre. « Je ne suis pas venu pour les bien portants, mais pour les malades, pas pour les justes mais pour les pécheurs. »
Belgique : La question n’est pas d’abord de savoir ce qui a changé. Mais bien de savoir qui est changé. Et la réponse est : l’Église !
Philippines : Quand nos frères et sœurs, dont les relations ou la vie de famille ont été brisées, se tiennent timidement aux portes de nos églises sans savoir s’ils seront les bienvenus, allons àleur rencontre !
Brésil : Malgré l’isolement et les situations de violence extrême, le pape nous invite àune attention plus vraie, plus concrète àla vie des gens. Il donne surtout le signal d’une Église qui va de l’avant, ce qui signifie beaucoup de choses pour un évêque qui, comme moi, vient d’aller rendre visite àun prêtre malade vivant à1 200 km…
Autriche : La grande joie que me procure ce document réside dans le fait qu’il dépasse de manière cohérente, la division artificieuse, extérieure et nette entre les « réguliers » et les « irréguliers », et il place tout le monde sous l’instance commune de l’Évangile.
Québec : Notre travail de pasteur consiste plus que jamais àéclairer les consciences, non àles remplacer.